Histoire La préhistoire du Ghana est très peu connue, peu de sites archéologiques ont été répertoriés. Les plus anciennes traces d’habitation humaine découvertes au Ghana sont des vestiges de céramique datés du 4ème millénaire avant  J.C. mais probablement la région était habitée déjà il y a 30.000 à 40.000 ans. Vers le  9ème et 10ème siècle des communautés venus du nord et nord-est commencent à s’installer dans la région et plus tard, entre le 11eme et 15eme siècle de grandes migrations ont lieu dans le bassin de la Volta. Les ethnies qui habitent aujourd’hui le Ghana sont arrivées sur ce territoire probablement il y a 1000 ans ou plus tard. Le sud du Ghana est occupé d’ethnies venues de l’est, et le nord du pays est habité par des groupes venus du Sahel  En 1471, les Portugais débarquent sur la côte du futur Ghana où ils établissent des comptoirs de commerce d’or, d’ivoire et d’épices. Ils sont à la recherche du plus court chemin pour accéder aux Indes. Pour protéger leurs intérêts économiques ils fondent un premier comptoir commercial, à l’endroit où se situe actuellement le château d’Elmina. Bientôt d’autres Européens surgissent sur la côte: les Hollandais, Anglais, Danois, Suédois et Français arrivent successivement. Après la découverte de l’Amérique l’intérêt européen se tourne vers le commerce d’esclaves, comme au Nouveau Monde les planteurs ont besoin de mains d’œuvre bon-marchés pour ses plantations de coton, tabac et canne à sucre. Beaucoup de châteaux forts sont construits le long de la côte ghanéenne qui servent surtout comme donjons pour les esclaves. Nulle part ailleurs en Afrique on trouve une telle densité de châteaux comme au Ghana. Entre le 16ème et le 18ème siècle ces châteaux sont très disputés entre les pays européens. La rivalité entre puissances européennes pour le contrôle du commerce de l'or et d'esclaves se conclut en faveur des Britanniques. En 1821, le gouvernement britannique prend le contrôle des comptoirs de commerce. Parallèlement au développement de la traite négrière, vers 1600, au centre de l’actuel Ghana se forme le Royaume Ashanti, qui s’oppose à la colonisation britannique pour imposer ses propres intérêts. Cette opposition aboutit à quatre guerres qui se terminent finalement avec l’occupation de la région Ashanti par les Anglais.  1874, la Côte de l’Or est proclamée colonie de la Couronne britannique. La capitale est transférée de Cape Coast, à Accra en 1876. Les colonisateurs britanniques fixent dès 1901 les frontières du Ghana : le territoire Ashanti et le nord du pays, annexé à partir de 1896, sont soumis et rattachés à la colonie. L’annexion est officielle le 1 janvier 1902. Le roi Prempeh I est exilé et seulement en 1924, autorisé à rentrer à Kumasi et remonter sur le trône en 1926. Partout dans leurs colonies les Anglais appliquent le principe de « indirect rule » (administration indirecte). Durant les décennies d’oppression, des mouvements de résistance se sont constitués. En 1914, le « National Congress of British West Africa » (Congrès National de l’Afrique de l’Ouest Britannique) est créé, dirigé par des Africains. Cependant, leurs revendications de garantir le même droit au travail aux Africains s’ils ont les mêmes qualifications que les Britanniques et de ne pas se mêler de l’élection et de la destitution des chefs locaux sont refusées. La fin de la Deuxième Guerre mondiale qui a vu combattre plus de 50.000 Ghanéens pour la couronne, sonne le glas de l'empire colonial britannique. En 1947, le parti indépendantiste « United Gold Coast Convention » (UGCC) est créé qui exige l’indépendance « dans les plus brefs délais ». La même année le Dr Kwame Nkrumah adhère à l‘UGCC. En 1948, des émeutes éclatent suite à la mort de trois hommes tués par des officiers britanniques lors d’une marche de protestation pacifique. A l’issue de ces évènements, les leaders de l’UGCC sont arrêtés, parmi eux Nkrumah. Peu àprès sa libération en 1949, Nkrumah fonde le Parti de la convention du peuple (CPP), à la tête duquel il conduit le Ghana à l‘indépendance. Le 6 mars 1957, la Côte de l’Or est le premier pays ouest-africain colonisé à accéder à l’indépendance. Le nouvel état s'appelle désormais Ghana en souvenir du grand Empire médiéval du Ghana. Le 1er juillet 1960, la République est proclamée et Nkrumah devient naturellement son premier président. Nkrumah rejoint, très tôt, le camp socialiste. Certes, les infrastructures connaissent un développement significatif  avec la construction du barrage d’Akosombo et la réalisation d’un grand port en eau à Téma, et le secteur de l’éducation est encouragé. Mais sa politique de reconstruction économique, basée sur un socialisme calqué sur la planification des Etats du bloc communiste, conduit le pays à la faillite économique. En 1966, Nkrumah est chassé du pouvoir par un coup d'État militaire. Les trois années suivantes, le Ghana est dirigé par un Conseil de libération national. En 1969, la seconde République est proclamée. Plusieurs gouvernements faibles se succèdent et l’économie est totalement paralysée. Le 4 juin 1979 le jeune lieutenant de l'aviation, J.J. Rawlings, prend le pouvoir par un putsch militaire deux semaines avant les élections. Suite à ces évènements,  il met en place des mesures draconiennes contre la corruption exécutant plusieurs militaires de haut rang. Finalement Rawlings permet les élections et  se retire en faveur d'un président civil élu, Hilla, qui, lui non plus, ne peut pas améliorer la situation économique. Le 31 décembre 1981 Jerry Rawlings reprend le pouvoir par un coup d'Etat et cette fois-ci il ne se retire pas. Au début de sa présidence l’économie connaît un essor important. En 1992, une nouvelle constitution est proclamée qui instaure la quatrième République et met fin au régime militaire. La constitution garantit des droits démocratiques y compris des élections libres qui ont lieu la même année et sont remportées par le National Democratic Congress (NDC) avec Rawlings à la tête. Il termine son deuxième mandat au début de l‘année 2001 et, en respectant la constitution, il ne se présente plus aux élections. Pendant sa présidence le pays s’oriente vers un fonctionnement politique démocratique, mais il ne peut pas renouer avec son premier succès économique. Les élections sont remportées par le plus grand parti d'opposition, le New Patriotic Party, avec J.A. Kufuor à la tête face au candidat du NDC, le prof. John Atta Mills. Sous la présidence de Kufuor l’éducation primaire gratuite et un système de Sécurité sociale sont introduits. Les élections du 4 janvier 2009 sont remportées par Atta Mills, Kufuor ne pouvant plus constitutionnellement se présenter après son second mandat. Atta Mills est décédé brusquement le 24 juillet 2012. Le vice-président John Dramani Mahama va achever son premier mandat conformément à la constitution.    Population IParmi les 25 millions de Ghanéens on distingue quatre groupes d’ethnies qui se composent eux-mêmes de plusieurs sous-groupes. Représentant environ 50% de la population les Akan sont le plus grand groupe ethnique du Ghana. Il se compose des Fanti, des Ahanta et des Nzima au sud du pays, ainsi que des Ashanti, des Ahafo et des Bono au centre. Le deuxième plus grand groupe, le Mole-Dagbani groupe (17%),  comprend les Kokomba, les Chamba, les Telensi, les Sisala, les Vagala, les Templensi, les Dagomba et les Gonja.  Les deux autres groupes sont les Ewé (13%) et les Ga-Adangbe, qui constituent environ 8% de la population. Il rassemble les Ada, les Krobo, les Shai et les Ga. D’autre part, vivent au Ghana plusieurs millions  d’étrangers dont la plupart sont d’origine burkinabé, nigériane, togolaise, ivoirienne et libérienne.                                                                      Religions Environ 40%-45% de la population sont animistes, ils pratiquent surtout la religion des Akan et celle des Ga. Le christianisme plutôt implanté au sud du pays est représenté par 30%-35% de la population, avec une majorité protestante (presbytériens, l'Église de Pentecôte, méthodistes, baptistes, adventistes, etc.). Les catholiques constituent un tiers environ des chrétiens au Ghana. L’islam est pratiqué au nord du pays, environ 20% de la population sont musulmans. Ce sont des chiffres approximatifs car l’islam et le christianisme sont restés fortement teintés de l’animisme. Beaucoup de Ghanéens professent le christianisme ou l’islam sans abandonner les pratiques de la religion ancestrale. Le Ghana est un pays laïc  où chacun peut choisir sa religion. Il y règne un haut niveau de tolérance envers les gens d'autres confessions. Il y a des familles qui se composent autant de chrétiens que de musulmans sans que cela pose problème.   Langues L’anglais est la langue officielle du Ghana et est parlé par environ 60% de la population. Mais au territoire du Ghana 79 langues et idiomes différents sont parlés en totale. On divise les groupes linguistiques en les langues kwa et gur. L’akan qui appartient au groupe des langues kwa, est la langue la plus répandue dans le pays: elle serait parlée par 70% des Ghanéens et comprend un nombre excessif de dialectes qui incluent le fanti, le twi, le brong, l’akim et l’akwapim. Beaucoup d'autres langues locales et des dialectes sont parlés y compris l‘ewé, l’abron, le farefare, le dagbani, le dangme, le ga, le konkomba et le haoussa.   La flora et la Faune L'éveil de la conscience écologique au Ghana a permis de créer 70 parcs nationaux ou réserves.   La flore Au Ghana on distingue trois zones en fonction de leur végétation: la forêt tropicale humide et la savane humide au sud-ouest du pays, la savane arborée et la savane herbeuse au nord et au centre, et une bande étroite de savane côtière au sud. De la forêt primaire, qui jadis a couvert 85.000 km², il ne reste que 40.000 km². Cette déforestation résulte essentiellement des actions de déboisement, liées à l'extension des terres agricoles et à l'exploitation excessive ou anarchique des ressources forestières. Parmi les arbres géants de la forêt humide on rencontre l‘acajou (Khaya), de différentes espèces de figuiers et d‘albizia, l’iroko, aussi appelé odum (Milicia excelsa), le bediwonua (Canarium schweinfurthii), le fromager ou kapokier (Ceiba pentandra) avec ses racines contreforts très impressionnantes, appelé au Ghana onyina, et l’otuwere, dont les grandes épines jadis ont fourni le matériau utilisé pour la fabrication de tampons encreurs. Beaucoup d’arbres dans la forêt humide sont couverts par des épiphytes telles que les orchidées, les bromélias et les fougères.  Au centre, après Kumasi le paysage végétal de savane arborée marque clairement la transition vers la zone sahélienne, dominée par les baobabs isolés (Adansonia digitata), le karité (Vitellaria paradoxa) et le manguier (Mangifera indica). On y rencontre également le kapokier rouge (Bombax ceiba), originaire des régions tropicales. En décembre et janvier ses fleurs, de couleur rouge sang, se remarquent de loin. Elles poussent au printemps, bien avant que les feuilles n‘apparaissent. Le paysage se caractérise aussi par de différentes espèces d’acacia. Dans la plaine côtière, les arbres les plus courants sont le cocotier et les mangroves Dans les villes on trouve beaucoup d’arbres et de plantes d’ornement tels que le flamboyant, la bougainvillea, l’hibiscus ou le jacaranda. Parmi les arbres cultivés on rencontre le palmier à huile qui est très utile. On tire de l’arbre deux huiles, l’huile de palme de couleur rouge et l’huile de palmiste de couleur blanche, et sa sève permet la fabrication du vin de palme. Ses feuilles sont utilisées pour la fabrication de cases ou de balais. Au sud du pays on trouve des plantations de cocotier. La noix de coco n’est pas seulement un fruit délicieux et rafraîchissant, elle est aussi utilisée pour la fabrication de crèmes. D’autres arbres cultivés sont le kolatier, le calebassier originaire de l’Amérique et le le caoutchouquier.  Les cultures fruitières les plus répandues sont celles d’ananas, d’agrumes, de bananes, de goyave et d’avocats. Le cacao est la principale culture d'exportation du Ghana. Le Jardin Botanique d’Aburi, qui offre une grande diversité de plantes indigènes et de plantes importées, est un site incontournable pour tous les amateurs de botanique.   La faune On trouve quelques espèces de mammifères menacées d’extinction dans les parcs nationaux. Ainsi le parc national de Kakum abrite l’éléphant des forêts, le buffle des forêts, l’hylochère, le bongo et le cercopithèque mone. Le Parc National de Mole est le plus grand parc du pays. Il abrite 93 espèces de mammifères, 33 espèces de reptiles et 9 espèces d’amphibies. On y voit facilement l’éléphant, le phacochère, le cobe du Buffon, le cobe à croissant, le guib harnaché, le babouin et le singe vert. Le lion, le léopard, le serval et le chat sauvage africain sont présents dans le parc, mais il est difficile de les voir. Au parc de Mole on trouve aussi la plus grande population du buffle africain du Ghana. On peut noter aussi la présence de plusieurs espèces de primates au Ghana y compris le babouin, le chimpanzé, le singe vert, le cercopithèque mone et le singe de Roloway. Le Parc National de Mole, à lui seul, compte plus 300 espèces différentes d’oiseaux. Le pays compte quelque 744 espèces. Dans la forêt tropicale humide on a trouvé 15 espèces endémiques, dont 14 sont menacées. Les meilleurs sites d’observation ornithologiques sont les parcs nationaux d’Ankasa-Nini-Suhien, Bia, Kakum et Mole, les réserves d’Atiwa-Atwirebu, Cape-Three-Points, Afadzato-Agumatsa et Assin-Atandasu ainsi que la lagune de Songaw  et l’embouchure de la Volta. Le visiteur rencontre souvent de différentes espèces d’hérons et d’aigrettes telles que le héron mélanocéphale, la grande aigrette et le héron garde-bœufs, le milan noir, de différentes espèces de buses et de vanneaux tels que le vanneau à tête noir, le vanneau à éperons ou le vanneau à tête blanche, l’échasse blanche et le jacana africain, ainsi que de différents espèces de martins-pêcheurs et de guêpiers tels  que le guêpier nain, de différents calaos tels que le calao à bec rouge et beaucoup d’autres. Parmi les reptiles, on note la présence des crocodiles du Nil qui sont nombreux au Ghana. On compte un grand nombre de différentes espèces de serpents y compris des vipères venimeuses, des cobras cracheurs, le mamba vert et le mamba noir et la vipère heurtante. Ils sont difficiles à voir car ils sont très farouches et prennent la fuite à la moindre alerte. On peut aussi citer de différentes espèces de caméléons, de varans, d’agames, de lézards et de geckos. Plusieurs espèces de tortues sont protégées. La faune maritime de l’Atlantique est très riche en poissons et crustacés. On y trouve des barracudas, des sardines, des maquereaux, des mérous, des thons et de différentes espèces de requins, ainsi que d’autres animaux marins tels que des langoustes, des méduses, des calmars, des moules, et des escargots de mer.   Géographie Le pays couvre un territoire de 239.460 km².  De la côte Atlantique, le pays s'étend à l'intérieur  jusqu'au Burkina Faso, entourant une distance de 672 Km du sud au nord. Le littoral compte avec 560 kilomètres de plages principalement sableuses.  Il est bordé à l’Ouest par la Cote d’Ivoire et à l’Est par le Togo. On peut diviser le pays en cinq zones: la plaine côtière (Low Plains), le plateau Ashanti, la chaîne de l’Akwapim, le bassin de la Volta et les High Plains. La plaine littorale est une zone basse et sablonneuse parsemée par des forêts de mangroves. Derrière la bande côtière on trouve les hautes terres du plateau Ashanti, situé à une altitude moyenne de 450 m, hérissé par endroits de collines et d'inselbergs. A l’est, il est limité par le bassin de la Volta, qui avec ses 87.000 km² constitue la plus grande région naturelle du Ghana. Environ les deux tiers de la région du Ghana sont drainés par la Volta qui avec 1600 km environ est le plus long fleuve du pays formée par la confluence de la Volta Noire, la Volta Blanche et la Volta Rouge qui prennent leur source au Burkina Faso. Construit sur ce fleuve, le barrage d'Akosombo retient le plus grand lac artificiel du monde, le lac Volta. Au nord du pays se situent les High Plains, culminant à 300 m dans leur partie occidentale sur le plateau de Wa et à plus 500 m dans leur partie orientale vers la cuesta de Gambaga.  La chaîne de l’Akwapim s’étend du sud-est du Ghana jusqu’au Bénin en traversant le Togo du sud-ouest au nord-est. Au Togo ce massif montagneux s’appelle les Monts Togo et au Bénin il est connu comme la chaîne de l’Atakora. Dans l’Akwapim on trouve l’Afadjato, situé tout près de la frontière avec le Togo, qui est le plus haut sommet du Ghana avec 885 m d’altitude.   Economie L’économie du Ghana est principalement agricole. Plus de 50% des ghanéens travaillent dans ce secteur. Les productions destinées à la consommation locales comprennent le maïs, le riz, le mil, l’igname, le manioc, la banane plantain et des fruits et légumes. La pêche maritime et la pêche en eau douce jouent aussi un rôle important. Dans le cadre d’une économie de monocultures on cultive le cacao, la canne à sucre, le café, le palmier à huile et l’arbre à caoutchouc. Cependant, il n'existe que très peu d'industries de transformation des produits issus de ces cultures. Le cacao est la principale culture du Ghana. Deuxième producteur mondial de fèves de cacao derrière la Côte-d'Ivoire, le Ghana est un des plus importants exportateurs de cacao. On estime que 1,5 millions de Ghanéens vivent de l'arboriculture cacaoyère.  Le Ghana est un pays riche en matières premières, dont la plus importante est l’or. Il est le deuxième producteur africain d'or. Le pays doit son ancien nom de Côte d’or  à sa richesse en ce métal précieux. La plupart des mines sont des opérations à ciel ouvert. Les plus grandes mines se situent à Tarkwa et à Obuasi.  Il faut également y ajouter le diamant industriel, la bauxite, le minerai de manganèse, le plomb, fer et beaucoup d’autres. Les ressources qui ne sont pas encore exploités sur une grande échelle comprennent l’étain, le cuivre, la tantalite, le minerai de fer et beaucoup d’autres. Des ressources pétrolières off-shore significatives ont été découvertes,  ce qui fera du Ghana un pays exportateur de pétrole. Le Ghana est  l'un des principaux fournisseurs de bois précieux, dont on compte 23 espèces au pays. Pour raison de protection de la nature Pour des raisons de conservation de la nature, l'exportation de certaines espèces de bois précieux est interdite, mais les intérêts écologiques sont souvent négligés en faveur des intérêts économiques. Le bois et les produits en bois constituent le troisième secteur d’exportation du Ghana. L'industrie est relativement développée par rapport aux autres pays africains. Elle constitue environ 15% du volume économique. L’industrie légère est prédominante, elle inclut les textiles, sucre, bière, réfrigérateurs et radios.  On peut citer l’industrie lourde qui est répandu dans la région d’Accra, particulièrement l'industrie de la fabrication des ciments, l’industrie sidérurgique, la production d’aluminium, une usine d’assemblage de véhicules et  l’industrie des colorants.
Vero Tours
Ghana
Informations sur le pays
© Vero Tours, 2014.
Retour Circuits Actualités Qui sommes-nous? Conditions de vente Contact Retour Circuits Actualités Qui sommes-nous? Conditions de vente Contact